Dans l’échange singulier qui s’établit entre le malade et son médecin et plus largement les soignants, le langage a une place prépondérante il permet d’exprimer ses symptômes mais aussi son ressenti. Quand la barrière de la langue limite cette compréhension c’est la qualité des soins qui peut en pâtir, Qu’en est-il dans nos régions insulaire ou la langue officielle est certes le français mais où la plupart des échanges se font en créole. ?